Entre le raffinement de l'école de Fontainebleau et le goût de Richelieu, la peinture française des années 1590-1620 a longtemps été jugée comme archaïque en raison de son attachement au maniérisme. L'auteur remet en cause cette vision et révèle la richesse artistique de la capitale en pleine effervescence sous le règne d'Henri IV et la régence de Marie de Médicis.