
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres. Livre deuxième
Emil Ferris (Auteur)
Editeur(s) : Monsieur Toussaint Louverture
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres livre deuxième
Bande dessinée de 416 pages couleurs de 206 par 270 mm, tirée à 4 444 exemplaires numérotés à la main, imprimée sur du papier artic volume 130g/m2, reliée avec un carton de 3 mm, recouvert de toile brillianta sérigraphiée, protégée d'une jaquette de 200 g/m2 pelliculée brillant et accompagnée d'un livret avec piqûres métal de 16 pages en 1 couleur offset.
« Quoi qu'il en soit, je n'ai jamais abandonné l'histoire de Karen. J'ai continué à l'écrire et à faire de petits dessins de ses personnages - même quand j'étais épuisée et privée de sommeil. Karen m'a tenue en vie à une époque où la vie de mère célibataire était très difficile. » Emil Ferris
L'existence de Karen Reyes regorge d'insondables mystères, le meurtre d'Anka Silverberg, sa musc sombre et survivante de l'holocauste, n'a toujours pas été élucidé. L'arrestation de son voisin, le gangster Kiri Jack Gronan, a soulevé une partie du voile noir qui flotte sur Uptown, quartier sous tension et dangereux du Chicago des années 1960, donnant à voir un monde en ébullition où règnent prostituées et truants, fantômes et hippies philosophes. Et il y a la mort de son incroyable maman, qui a laissé un vide sidéral dans l'âme déjà chamboulée de la jeune Karen...
La petite artiste doit ainsi faire face à une vie nouvelle, celle de l'adolescence, où tout tremble et vacille, et où même ses menues certitudes semblent sur le point de voler en éclats.
Par chance, c'est un être farouche : 14 louve-garou, 14 détective, 14 enflammée. Carburant à la curiosité, l'imagination et la compassion, elle veut désormais bannir de son existence les tabous et les mensonges qui ont fini par empoisonner jusqu'à ses rêveries. Heureusement que son frère Deeze, illustrateur autodidacte au passé trouble, est là pour la protéger des menaces invisibles qui pèsent sur elle, et ce, quoi qu'il en coûtera.
Mais pour combien de temps pourra-t-il encore veiller sur sa petite soeur, étant sur le point d'être mobilisé et envoyé au Viêtnam ?
* Sous réserve éditeur


