Issus des quatre coins du monde et engagés sous un nom d'emprunt, les légionnaires - les fameux Képis blancs - ont suscité d'innombrables légendes où le vrai se mêle souvent à l'imaginaire. Créée en 1831, la Légion étrangère fut de tous les combats, de Camerone en 1863 à l'Opération« épaulard » au Liban en 1982, en passant par Diên Biên Phu en 1954. Ce corps d'élite unique au monde - la sélection y est drastique et l'entraînement exigeant - demeure une institution plus vivante que jamais. De nos jours encore, ces soldats hors du commun sont appelés à maintenir l'ordre partout où leur redoutable efficacité et leur savoir-faire s'avèrent indispensables. Ancien légionnaire, Pierre Montagnon reconstitue la grande épopée de ces guerriers, des aventuriers des débuts aux hommes de métier d'aujourd'hui.
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Cet ouvrage est le compagnon idéal pendant votre voyage à travers l'épreuve du développement, qui synthétise à la fois votre compréhension des thèmes abordés, vos capacités techniques et vos qualités d'orateur.
Des thématiques diverses et originales Les sujets proposés tissent des liens entre différents domaines, permettant de prendre le recul nécessaire à l'agrégatif comme au futur enseignant. Au gré des développements, on découvre la théorie analytique des nombres, les trajectoires de billards, les machines de Turing, la théorie probabiliste des groupes, les nombres p-adiques, la contrôlabilité des équations aux dérivées partielles ou encore la modélisation économique, biologique et physique.
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Chaque leçon est illustrée par plusieurs de ces perles, sélectionnées pour leur intérêt tant mathématique que pédagogique. Ce livre propose ainsi une référence unique et riche pour vous accompagner jusqu'à l'agrégation... et plus loin dans les mathématiques !
Les Centurions, qui tirent leur dénomination du titre d'un célèbre roman, désignent ces officiers coloniaux et de légion des années cinquante. Comme les personnages de l'oeuvre de Lartéguy, beaucoup sont passés par l'Indochine, et tous combattent en Algérie. Pierre Montagnon est l'un d'eux.
Dès 1956, il se bat avec les légionnaires parachutistes qu'il commande pour garder l'Algérie à la France. Au début de 1961, les Centurions sont plus que jamais « Algérie française », quand le pouvoir politique à Paris, incarné par le général de Gaulle, l'est de moins en moins. Cette divergence va provoquer la révolte des premiers contre le second. Le capitaine Montagnon prendra part au putsch d'Alger. Il en présente ici les phases, les origines et les conséquences, ainsi que les différents protagonistes, et hors de tout jugement passionnel donne un témoignage précieux sur l'état d'esprit de ces militaires qui désobéirent par fidélité à ce qu'on leur avait demandé d'être et de faire.
La France reste un chef d'oeuvre inachevé. La Mer du Nord, la Manche et l'Océan Atlantique la couvrent à l'ouest tout en lui procurant de larges ouvertures vers le grand large. Faute de maîtrise de la mer, Napoléon ne put débarquer outre Manche. La supériorité alliée sur mer et dans le ciel permettra cependant le 6 juin 1944.
Au midi, se dresse le mur des Pyrénées formant rempart devant la péninsule ibérique d'où surgirent tant d'envahisseurs, des cavaliers d'Abd-El-Rhaman en 732 aux Anglais de Wellington en 1814. Puis à nouveau, la mer, la Mare Nostrum romaine, porte de l'Afrique et de l'Orient.
A l'est, la montagne ressurgit. Bloc massif des Alpes, bouclier difficile à percer en venant des plaines de Lombardie. Il se prolonge par le Jura, autre barrière menant jusqu'au Rhin.
Le Rhin, ce Rhin français, semble vouloir fermer l'entrée pour un conquérant débouchant de l'est. Le manque se situe là. La France n'a pu conclure sa course. La rive gauche du Rhin lui fait défaut. Le talon d'Achille du pays se loge en cette bordure nord-est.
Le présent ouvrage vise à rapporter ces batailles qui, au fil des siècles, ont conduit à la France présente à laquelle ne fait défaut que sa frontière du nord-est. Victoire et défaites y sont conjointement évoquées, car elles expliquent sa situation. On découvrira des batailles méconnues lourdes d'acquit territorial alors que d'autres, hautement célébrées, sont chargées de gloire et de sang versé que de terrain gagné.
Durant plus de deux millénaires, l'Algérie s'est cherchée.
Les occupants romains, arabes, turcs ou français se sont succédé sur son sol. Aucune figure de proue, hormis Abd el-Kader, aucune dynastie ne se sont imposées pour façonner une nation. Si les Algériens, déchirés par des rivalités tribales ou ethniques, se sont opposés avec vigueur aux divers envahisseurs, ils n'ont jamais pu, en revanche, se rassembler. Après plus d'un siècle d'occupation française, le 1er novembre 1954 marque le début de la guerre d'indépendance.
Le pays vacille, des militaires s'emparent du pouvoir. Violences, attentats, tueries, répressions déferlent de tous côtés. 50 000, 100 000 morts, davantage ? Nul ne le sait. L'Algérie tout entière plonge dans l'horreur et le dénuement. L'incertitude, la précarité caractérisent plus que jamais son destin. Pierre Montagnon qui connaît ce pays lui reste profondément attaché. Nombre de ses ouvrages en témoignent.
Celui-ci rapporte et éclaire, avec impartialité et rigueur, l'aventure d'une terre et d'un peuple qui souffre mais refuse, malgré tout, de renoncer à l'espérance qui renaît peu à peu aujourd'hui.
Lorsque les Français, en 1830, débarquent sur cette terre appelée « La Régence d'Alger », celle-ci ne ressemble ne rien à un état. Dans la mouvance turque elle se divise en beyliks quasi autonomes et moyenâgeux. Monde rural, elle vit sans infrastructures urbaines, portuaires, routières industrielles. Au départ de la France en juillet 1962, elle possède au nom « Algérie », et des frontières reconnues qui ont décuplé sa superficie d'état unifié et administré ( 2,4millions de km2. Contre moins de 200 000). Des villes, des ports, des aérodromes ont été créés. Des voies de communications sillonnent le pays. L'industrie se développe. L'agriculture florissante exporte. Des écoles, des hôpitaux ont vu le jour, les épidémies sont enrayées. Le pétrole, le gaz assurent des finances saines. La population s'est multipliée au moins par trois. Un demi-siècle après la rupture du lien entre la France et l'Algérie, alors que l'horizon s'assombrit entre deux civilisations, le legs de 1962 reste matière à controverse. Et pourtant ! Ferhat Abbas, le premier chef de l'État de la République algérienne, écrivait : « La colonisation était morte, ce qu'elle avait abandonné dans notre pays représentait un actif considérable. Comment allions-nous le préserver, l'enrichir et le conserver au profit de nos masses ? »
Dictionnaire traitant du conflit dans sa globalité, à travers plus de 2.000 entrées : les faits politiques, les pactes, les traités... ; les événements militaires, les batailles... ; les hommes, les responsables politiques... ; les matériels, les armements... ; les conséquences humaines, matérielles, politiques...
Par son ampleur et son énorme documentation, La
Guerre d'Algérie de Pierre Montagnon est l'un des plus
authentiques témoignages historiques jamais écrits
sur un conflit dont les traces subsisteront longtemps
dans la société française, touchée au coeur de ses
structures politiques et sociales.S'adressant aux jeunes générations comme à ceux qui,
de près ou de loin, ont vécu ce drame, ce livre répond
à toutes leurs questions. Pourquoi cette terre n'a-t-elle
pas constitué une nation au milieu du XXe siècle oe
Pourquoi l'insurrection a-t-elle éclaté le 1er novembre
1954 ? Pourquoi et comment s'est-elle développée oeNon seulement Pierre Montagnon relate les faits, mais
il remet aussi dans leur juste perspective le pouvoir et
les marges d'action dont disposèrent les principaux
acteurs et décideurs de l'époque. Il explique ainsi
pourquoi un éclairage excessif a été porté sur certains
hommes tandis que d'autres, au contraire, sont restés
dans l'ombre.La Guerre d'Algérie de Pierre Montagnon s'impose
aujourd'hui comme un livre fondamental. Il a été
couronné par l'Académie française.
Réunit en un seul volume les 5 premiers ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale, édités chez Pygmalion de 1992 à 1994. De septembre 1938 à Munich à octobre 1943, l'invasion de l'Italie.
Dans le premier tome de ses Mémoires, Pierre Montagnon a relaté sa guerre en Algérie, de novembre 1954 à 1961, dans les rangs des parachutistes de la Légion. Rendu à la vie civile après le 22 avril 1961, il ne renonce pas. Retourné clandestinement à Alger, pour faire face à l'inéluctable indépendance, il s'intégre à l'équipe qui sera baptisée le "Soviet des capitaines". Dirigeant le secteur d'Hussein-Dey, il y mène la lutte contre le FLN, s'efforçant de structurer ceux qui résistent. Conscient que le véritable combat se situe dans l'intérieur, il dirige fin mars 1962 le maquis de l'Ouarsenis réunissant une poignée d'Européens et des harkis du Bachaga Boualam. Afin d'éviter une lutte fratricide contre les forces gouvernementales, il doit, le 6 avril suivant, cesser son action. Dans ces pages sincères et lucides, sans rancoeur ni arrière-pensées, l'auteur évoque son combat mené la tête haute pour sauver ce qui pouvait l'être de la présence française en Algérie.
FRANCE - INDOCHINEUn siècle de vie commune (1858-1954)Pourquoi la France s'est-elle implantée en Cochinchine dès 1858, puis sur le Tonkin et l'Annam ? Pourquoi a-t-elle encore étendu son influence sur les voisins, le Cambodge et le Laos ? Comment s'est-elle imposée dans des pays situés à plus de 10 000 kilomètres de la métropole et habités par des populations relevant d'une autre culture ? Comment a-t-elle conduit son action sur les plans militaire, politique, économique et humain ? Comment, enfin, a-t-elle dû quitter un ensemble considéré comme le fleuron de son empire colonial oe A toutes ces questions et à bien d'autres, Pierre Montagnon apporte une réponse, en s'attachant autant aux acteurs de chaque camp qu'aux événements. Historien objectif, il n'élude rien : la conquête par les armes en Cochinchine - Tonkin, la résistance nationaliste s'opposant à l'ingérence française, le dirigisme colonial laissant peu de prérogatives aux autochtones.
Cette remarquable synthèse situe et fixe à sa juste valeur un siècle de vie commune avec ses erreurs et ses fautes mais aussi ses aspects positifs.
Traitant le conflit dans sa totalité, ce dictionnaire présente à travers près de 2 000 entrées :
O Les faits politiques, pactes, traités, ententes, conférences...
O Les événements militaires, batailles sur terre, sur mer et déjà dans le ciel...
O Les hommes, responsables politiques, chefs militaires, combattants...
O Les matériels et les armements...
O Les conséquences humaines, matérielles et politiques...
A la fin du printemps 1941, non satisfait d'occuper la majorité de l'Europe centrale et occidentale, Adolf Hitler se tourne vers l'Est.
Persuadé d'en finir très vite, le Führer se targue de pouvoir réaliser le Lebensraum, "l'espace vital" germanique, auquel il aspire. L'Allemagne nazie part donc en guerre contre l'URSS de Joseph Staline. Mais atteindre la ligne Volga- Arkhangelsk, à 2 500 kilomètres à l'est de Berlin, implique d'enlever au passage Leningrad, Moscou, Kiev, Kharkov, ainsi qu'une autre ville, Stalingrad, qui va devenir en 1942 le tombeau de milliers de soldats.
La bataille de Stalingrad, ce fut Verdun en pire. L'horreur sans nom. L'homme traité comme moins qu'une bête, jeté en appât aux chars, aux mitrailleuses, aux canons. Ainsi le voulaient les deux destructeurs d'humanité du XXe siècle, nazisme et communisme, qui s'opposaient. L'existence humaine ne comptait plus, il fallait vaincre.
De tous temps et en tous lieux, de petites unités de combattants d'élite ont imaginé des opérations "coup de poing" pour surprendre et frapper l'ennemi, de manière souvent décisive.
Depuis la Seconde Guerre mondiale qui leur a donné leurs lettres de noblesse, on les a baptisées "Commandos". Groupes d'intervention de forces spéciales appartenant aux trois armes, elles relèvent d'une élite professionnelle triée sur le volet, impliquent soit un effectif limité d'hommes entraînés pour une mission ponctuelle, soit un nombre plus élevé de participants en fonction d'objectifs de portée plus spectaculaire et stratégique.
Dans les deux cas, tous doivent être prêts à se surpasser jusqu'à l'héroïsme pour honorer, sous leurs drapeaux respectifs, une devise unique : "Qui ose gagne". C'est cette passionnante succession d'actions foudroyantes, ayant pesé de tout leur poids sur le déroulement du second conflit mondial, que raconte Pierre Montagnon dans ce premier volume d'une histoire qu'il connaît parfaitement, non seulement sur le plan historique, mais aussi à titre personnel en tant qu'ancien officier parachutiste de la Légion.
Dans ce deuxième volume de son Histoire des commandos, Pierre Montagnon continue d'évoquer les plus époustouflants de leurs faits d'armes. Il se penche ici sur les deux grandes années 1944-1945 : enlèvement du général allemand gouverneur de la Crète (avril 1944), premier commando héliporté de l'Histoire (Birmanie, avril 1944), opération SS en Yougoslavie pour éliminer Tito (mai 1944), prises de Pegasus Bridge et de la batterie de Merville (6 juin 1944), attentat "Stauffenberg" contre Hitler (juillet 1944), commando Skorzeny dans les Ardennes (décembre 1944) ; et, l'année suivante : opération de choc US pour la reconquête de Corregidor (février 1945), commando surprise allemand sur Granville (février 1945), ultime commando d'un sous-marin de poche britannique dans le port de Singapour (juillet 1945), etc. C'est cette passionnante succession d'actions foudroyantes, ayant pesé de tout leur poids sur le déroulement du second conflit mondial, que raconte Pierre Montagnon dans ce deuxième volume d'une histoire qu'il connaît parfaitement, non seulement sur le plan historique, mais aussi à titre personnel en tant qu'ancien officier parachutiste de la Légion.
Cet ouvrage s'adresse aux étudiants des classes préparatoires littéraires de la filière B/L. Conforme aux nouveaux programmes, il comporte :La totalité du cours de première année de prépa, traité dans le strict respect des nouveaux programmes.De nombreux exemples, des illustrations et des commentaires pédagogiques pour accompagner ces étudiants au profil littéraire à bien comprendre le cours.Des QCM de révisions pour valider l'acquisition des connaissances.De nombreux exercices d'entraînement, regroupés en thématiques (compréhension, classiques, annales et ouverture) pour bien assimiler le cours, s'entraîner et se projeter vers les autres matières.Les corrigés détaillés de tous les exercices, intégralement résolus afin de pouvoir travailler en parfaite autonomie.Des vidéos de présentations des épreuves orales des concours complètent l'ouvrage.
L'auteur raconte cette âpre conquête qui fut en fait une très longue guerre de 1830 à 1871. Pour connaître et comprendre les origines et les modalités de la présence française en Algérie.
Après avoir consacré trois volumes à l'Histoire des commandos, Pierre Montagnon la complète en relatant un ensemble d'opérations spectaculaires et audacieuses, parfois tragiques et sinistres, restées dans les mémoires. Certaines ressuscitent des interventions militaires : la libération des otages de la grotte d'Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, celle d'Ingrid Betancourt, l'élimination de Ben Laden... D'autres évoquent des actions à caractère « civil » : l'enlèvement du nazi Adolf Eichmann par des émissaires israéliens, celui du président du Conseil italien Aldo Moro par les Brigades rouges, l'assassinat du commandant Massoud, les attentats fomentés par Carlos...
Ce sont autant des pages héroïques et glorieuses que des actes sombres, voire criminels, qui sont brillamment racontés ici avec la plume d'un historien rigoureux.
Création Studio Flammarion 42 Commando des Royal Marines, Afghanistan, 2011 © LA(Phot) David Hillhouse / Rex Features / SIPA
Le soldat a vocation à manier l'épée. Il ne dédaigne pas, à l'occasion, à se servir de la plume pour évoquer ses campagnes ou tendre à améliorer son art. Ils sont nombreux à s'inscrire dans cette double perspective de Monluc à de Gaulle. Les uns racontent - les grognards de l'Empire en sont l'exemple le plus fameux avec Coignet, Bourgogne, Marbot - les autres envisagent comment rendre leur épée plus tranchante, ainsi Guibert ou Ardant du Picq. Charles de Gaulle avec ses classiques Au fil de l'épée, Vers l'armée de métier et ses célèbres Mémoires fait la synthèse de tous ces courants. Hommes de guerre ou citoyens paisibles auront des surprises en découvrant ces écrivains militaires. L'auteur des Liaisons dangereuses est un général, le service des armes mène à tout.
Celui que Lyautey au Tonkin appelle le « Monsieur d'ici », et que la France a élevé à la dignité de maréchal à titre posthume, consacra toute sa vie (1849-1916) à son pays.
Saint-Cyrien, combattant de 1870, il était à Bazeille, il participe durant trente ans à l'expansion coloniale française. Explorateur et conquérant au Soudan, pacificateur au Tonkin, gouverneur de Madagascar durant neuf ans, ce grand travailleur poursuit parallèlement une activité littéraire importante. Il rapporte dans plusieurs ouvrages son activité outre-mer.
De retour en France, membre du Conseil supérieur de la guerre il est destiné en cas de conflit à commander une armée. Tiré de sa retraite en août 1914, il devient le légendaire défenseur de Pari», décidé à remplir « son mandat jusqu'au bout ». Lucide, il voit la faille du dispositif allemand et pousse Joffre, son ancien subordonné à Madagascar, à déclencher la bataille qui donnera la victoire de la Marne.
Ayant accepté par devoir les fonctions de ministre de la Guerre, il envisage de modifier le Haut Commandement englué dans des offensives stériles et sanglantes. La maladie ne le lui permet pas. Il meurt en mars 1916.
D'une vie privée sans défauts, soldat rigoureux et d'une honnêteté exemplaire, il était, selon les propos d'un homme politique « la Vertu sous les armes ».
Il laisse la marque d'un grand professionnel et d'un ardent patriote dont le parcours mérite d'être découvert.