Au nom du père : lecture psychanalytique de la loi du 1er mars 2002 relative à la transmission du nom de la famille
Ghislaine Jeannot-Pagès (Auteur)
Editeur(s) : PULIM
Collection(s) : Publications de la Faculté de droit et des sciences économiques de l'Université de Limoges
Université de Limoges
L'effacement désormais possible de la seule nomination paternelle serait-elle le signe de l'affaiblissement de la fonction du père ?
Le discours juridique semble se déployer à partir de ce seul questionnement adossé à une assimilation entre fonction paternelle et autorité.
La chute du nom du père est probablement moins signifiante dans le social que ne l'est sa disparition dans le titre même de la loi et son remplacement par le terme « nom de famille ».
La perte de l'autorité par défaut de nom du père est alors le signe d'un retour au clan tel que celui ci a été explicité par Freud.
Ce pouvoir serait désormais contenu par et dans un nom de famille valant, au sens lacanien, nom-du-père.
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Format et Reliure :
Livre
Pages :
113