Chronique au quotidien de l'auteur paysanne Geneviève CALLEROT, née en 1916, médaillée de la Légion d'Honneur à 102 ans, de sa soeur et de sa famille, dans la zone occupée près de la ligne de démarcation en Périgord, durant la Deuxième Guerre mondiale, période pendant laquelle elle fut arrêtée trois fois et fit de la prison pour avoir fait passer des centaines de personnes en zone libre.
Après un retour précipité de son lieu de vacances en pleine exode, Nina, une jeune périgourdine trentenaire, accompagnée par deux enfants juifs récupérés en route, rejoint son village en Périgord.
Quelques jours plus tard, l'armée allemande envahit son village. Elle espère alors ne pas faire remarquer et songe uniquement à protéger sa famille et les deux enfants.
Sa rencontre avec Karl, un lieutenant de la Wehrmacht, va dérouter son destin et l'entraîner du Périgord à Berlin, pour revenir à Limoges où elle s'établit avec ses enfants adoptés et le jeune frère de Karl ; Son destin étant lié à ce dernier, elle traverse les époques en gagnant en indépendance et en souhaitant regagner le droit d'aimer librement.
Car, malgré un fiancé dévoué et aimant, cette relation amoureuse qui se noue entre les deux jeunes gens au fil des années d'occupation, notamment quand Karl ne cautionne plus vraiment les agissements de son pays, et qui s'éternise bien après-guerre, malgré les obstacles, déroule le fil de deux vies ordinaires au milieu de circonstances extraordinaires.
Histoire et descriptions avec photos, plans, dessins, documents de l'abbaye de Saint Avit-Sénieur et des églises de Trémolat.
Monographie de la ville du Bugue.
Notre moulin était planté sur la rivière comme un pont. En le traversant, on allait, du bord, à l'îlot formé par le trop plein des eaux du goulet, autrement du bief, qui passaient sur l'écluse, et faisait un bras de rivière qui allait à deux cents pas en aval rejoindre les eaux qui faisaient tourner les meules. De l'îlot, on passait sur l'autre rive par un gué longé de grosses pierres que les piétons enjambaient tandis que leurs bêtes, quand ils en avaient, suivaient le gué... ... Ici commence pour moi une vie nouvelle, toute simple, toute unie, réglée par le soleil, les saisons, les époques des travaux de la campagne, le cours naturel des choses, c'est-à-dire une bonne vie paysanne, la meilleure, à mon avis, et la plus saine de toutes pour le corps et l'esprit...
Histoire et toponymie de Nontron et de son canton Recherche scrupuleuse sur les origines et Ses évolutions des noms de lieux de toutes les Communes du Canton de Nontron, Abjat, Augignac, Le Bourdeix, Connezac, Hautefaye, Javerlhac, Lussas et Nontronneau, St Estèphe, St Front de Nizonne, St Martial de Valette, St Martin le Pin, Savignac de Nontron, Sceau St Angel et Teyjat.
Toponymie des lieux-dits de la commune du Bugue
François Fournier (1772-1827), dit Fournier Sarlovése «enfant de Sarlat», né dans la capitale du Périgord noir, passe pour un duelliste et un querelleur légendaire. Occulté des dictionnaires, il reprocha à Napoléon l'oubli de ses idéaux républicains. Il ne l'aimait pas et ne cessa de s'opposer à son pouvoir discrétionnaire. Dans une réunion d'officiers, après la victoire de Chiusella en Italie en 1800, il lui répondit : «Souvenez-vous que la décadence de Rome est venue lorsque l'Empire succéda à la République». Colonel de hussards, Chef d'état-major de Lasalle, campagne de Prusse en 1807, Général de brigade après Friedland, défenseur de Lugo à 1 contre 10, il permit à la Grande Armée de passer la Bérézina en 1812. Cet homme fantasque, ce «plus mauvais sujet de l'Armée», s'évada trois fois. Sur sa tombe est inscrit qu'il «planta l'Aigle sur les remparts du Kremlin». Parmi quelques grands faits d'armes, il traversa les lignes anglaises à Fuentes de Onoro malgré une blessure et son cheval tué sous lui, et il retraversa avec un autre cheval ! Comme son illustre ami le général Lassalle, il a été immortalisé par le célèbre peintre Gros. Son nom figure sur l'Arc de Triomphe. A la défaite de Liebzig, il répondit à Napoléon : «Je dis que vous vous perdez, vous et la France». Dans son Code de Législation militaire, il fut le premier à proposer deux décorations différentes pour les mérites militaires (ruban rouge) ou civils (ruban vert). Il est mort à Paris le 18 Janvier 1827 et enterré à Sarlat.
Monpazier est à l'architecture ce que Lascaux est à la préhistoire. C'est la bastide la mieux conservée du Périgord. Riche d'Histoire, la ville a été fondée par Edouard 1er, roi d'Angleterre et duc d'Aquitaine, le 7 janvier 1284. Ses cornières et sa place centrale sont connues dans le monde entier. La cité a servi de décor à bien des films. Elle est aussi le berceau de Jean Galmot, député de la Guyane ; Buffarost, tisserand d'un village tout proche, y mena une importante révolte de croquants en 1637 et y périt écartelé. Joyau du Périgord qui en comporte tant, la bastide de Monpazier a traversé les siècles pour nous transmettre un mode de vie qui fut, en son temps, un des plus modernes du sud de la France.
Monpazier is to architecture what Lascaux is to prehistory, and is the best preserved bastide in the Perigord. The city was founded by Edward I, king of England and duke of Aquitaine, on January 7, 1284. It was the site of an important peasant revolt in 1637 and has since served as the setting for many films. Amongst its sons is Jean Galmot, deputy for French Guiana. A jewel of the Perigord, the bastide of Monpazier has traversed the centuries to show us a way of life which, in its day, was one of the most modern of the South of France.
A partir d'une recherche fine et précise, Nelly Buisson retrace les origines historiques et toponymiques de Thiviers et de tous les lieux-dits des communes du canton, Nantheuil, Eyzerac, Corgnac sur l'Isle, Vaunac, Lempzours, Saint Pierre de Côle, Saint Jean de Côle, Saint Romain-Saint Clément, Saint Martin de Freyssengeas, et fait revivre ainsi tout un passé souvent méconnu, en puisant fréquemment dans les racines linguistiques régionales. C'est ainsi plusieurs centaines de noms de lieux qui renaissent et ressuscitent, et nous apportent tout un pan de notre histoire.
Deux tomes pour comprendre l'Histoire de la période révolutionnaire en Périgord.
La Grotte de Bara-Bahau, un moment considérée comme les débuts de l'Art Pariétal il y a 40000 ans, nous apparaît aujourd'hui comme un des témoignages les plus importants et les plus significatifs des oeuvres de nos lointains ancêtres du Magdalénien. Dans un site pittoresque, encadrée de deux vallées, la grotte a longtemps été la cache des jeux des enfants de la région. Elle a, depuis, le respect et l'attention des plus grands préhistoriens. Classée Monument Historique, ouverte à de très nombreux visiteurs, elle laisse un sentiment d'étonnement et d'enchantement, en nous rappelant que la civilisation de ces êtres humains avaient eu autant d'imperfection et d'hésitation que les recherches de nos savants pour vouloir l'esquisser. Ce petit livret n'a pas plus d'ambition que celle d'un passionné, émerveillé et rêveur, frissonant devant tant de beautés et d'incertitudes...
Monographie de Saint Geniès en Périgord, capitale des Lauzes.
Inventaire, étude et généalogie d'une architecture typique du Périgord, art de vivre pendant des décennies.
Pour la première fois, réédition de l'ouvrage d'Eugène Le Roy, dans son intégralité et version originelle du feuilleton d'époque (fin 19°).
Anecdotes de pêche en Dordogne.
L'aquarelliste Jean Manoeuvre a écrit et illustré dès 1972 maints ouvrages (en Champagne, en Lot-et-Garonne ou en Périgord). Installé à Issigeac, il a été primé dans différents Salons, notamment celui du Bugue. Sa série «Si j'habitais à...» connaît une réel succès, basée en premier lieu sur son sujet privilégié, l'architecture.
Depuis la préhistoire, les hommes partout sur la terre ont cultivé du miel.
Proverbes et dictons du Périgord avec dessins.
Poésies, et aquarelles de José Corréa.
Biographie complète de l'auteur du Discours de la servitude volontaire et historique de tout son siècle.
Toponymie de l'ancien canton d'Issigeac en Dordogne