Cet ouvrage donne les repères à la fois historiques et pratiques pour choisir un modèle, un dispositif, des outils en fonction de son projet d'évaluation, que ce soit dans le champ de l'éducation, de la formation ou des ressources humaines en entreprise. Trois grands modèles ont été instruits successivement par l'histoire de l'évaluation : la mesure des produits, la gestion des procédures et l'évaluation située qui questionne les processus de l'activité des humains. Ces modèles, pour être utilisés aujourd'hui dans le champ de l'éducation et de la formation mais aussi dans le champ des ressources humaines (en entreprise), demandent d'adhérer à des principes, des postulats, des théories : des centres d'intérêt spécifiques qui déterminent des dispositifs types et des outils emblématiques. Connaître le point de vue délimité par chacun des modèles permet aux professionnels ayant à conduire des évaluations de choisir le modèle pertinent au projet d'évaluation dans lequel ils se positionnent à un moment donné et de ne plus exiger d'un dispositif ou d'un outil qu'il serve à tout, qu'il évalue tout. Chaque modèle découpe, dans la réalité, ses objets à évaluer. Ce livre permet d'avoir des repères pour se situer dans les possibles d'une évaluation qui n'en reste pas au contrôle.
Il s'agit dans cet ouvrage, de parier sur le pouvoir de l'auto-évaluation. Il s'agit de concevoir l'auto-évaluation, autrement que comme un auto-bilan sur le produit réalisé, mais plutôt comme un double processus à la fois simultané et contradictoire entre l'auto-contrôle des procédures et l'auto-questionnement des projets. L'auto-évaluation relève autant du social que du psychologique : le processus d'auto-évaluation s'éduque.
Loin d'être dogmatique, cet essai répond avant tout à une logique. Celle du témoin d'une époquequi voit s'écrouler un « empire occidental » que l'on pouvait naïvement imaginer, au lendemain del'instauration du Nouvel Ordre mondial, au début des années 1990, comme devant être définitif.Avoir voulu, au nom de l'ultra-libéralisme, détruire les nations et leurs spécificités au profit d'un vastemarché aux dimensions planétaires a été la grande erreur de ces dernières décennies. Nous voyonsaujourd'hui que ce funeste projet mondialiste a atteint ses limites. De plus, le retour sur la scèneinternationale de l'islam conquérant, accentué par les grands brassages migratoires, assombritencore plus l'avenir de nos peuples européens.Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas...Engagé dans le camp nationaliste alors qu'il était étudiant, Michel Vial a gardé de sa jeunesse cetteapproche non-conformiste qui caractérise ceux qui ont compris, avant les autres, que la défense denotre identité, et de notre liberté, est un éternel combat.Dans cet ouvrage, il décortique un par un les différents aspects de la crise que nous subissons enessayant de faire passer un message d'espoir à ceux qui refusent l'anéantissement de notrecivilisation.
Qu'ont en commun Alamo, Camerone, Iwo Jima ou Bir-Hakeim ?
La détermination des défenseurs qui affrontent sans faiblir un adversaire numériquement et matériellement très supérieur.
Encerclés et assaillis par celui-ci, ils savent que l'issue du combat ne peut que leur être défavorable, et pourtant ils lui opposent une résistance acharnée qui témoigne d'une conception de l'honneur qui n'appartient qu'aux meilleurs soldats.
A travers treize batailles, l'auteur démontre la valeur emblématique du combat sacrificiel, de la « défaite héroïque ».
Les batailles décrites dans cet ouvrage ont en commun de revêtir une valeur exemplaire très élevée qui les immortalise en les inscrivant de façon définitive, non seulement dans l'histoire militaire, mais aussi dans l'histoire tout court. L'exemple de ces combattants qui, à la reddition, préfèrent une mort héroïque, galvanise les générations suivantes et participe à l'écriture du roman national.
Comment le professionnel peut-il identifier les limites de la relation éducative ? A quoi peut-il se repérer pour savoir ce qu'il est en train de faire et prendre la posture qui lui importe ? Ce livre s'adresse à tous ceux qui " font de l'éducation" parce que leur statut professionnel le leur demande, les y oblige. Les champs professionnels concernés sont la formation tout au long de la vie, le scolaire et la formation d'adultes - la Santé - le Travail social et l'insertion - la Direction de ressources humaines, le management... tous les métiers de l'humain.
Cet ouvrage s'adresse à tous ceux qui ont une pratique d'évaluation de et dans une relation éducative, qu'elle soit organisée dans le cadre de la formation d'adultes, de l'enseignement, de la formation initiale et continue, ou encore dans une institution, une entreprise.
Il veut permettre au lecteur de se donner des points de repères pour l'action "Se former pour évaluer" et propose ainsi un système de références évolutif, une culture. Il s'agit d'élaborer une problématique à partir de laquelle l'évaluateur puisse se donner des conceptualisations de la régulation, du critère, de l'auto-évaluation et du projet.
- Jean-Paul II, de son vrai nom Karol Wojtyla, est né en Pologne en 1920. Il est devenu pape en 1978, à 58 ans. Il a parcouru le monde inlassablement pour faire connaître l'Évangile, rassembler la grande famille des catholiques et rapprocher tous les hommes de la paix.
- En 1858, Bernadette Soubirous, la fille d'un meunier, voit la Vierge dans le creux d'un rocher, à Lourdes. Au début, personne ne la croit. Mais aujourd'hui, des millions de gens, malades ou non, vont en pèlerinage à Lourdes pour prier la Vierge. Certains guérissent miraculeusement, beaucoup retrouvent du courage pour croire en Dieu.
Ce dialogue entre le peintre-illustrateur Nicolas Vial et Michel-Edouard Leclerc soulève des questions liées aux enjeux écologiques et économiques essentiels de notre époque. Prenant appui sur des dessins de Nicolas Vial parus pour beaucoup au fil de l'actualité dans le quotidien Le Monde, les deux hommes échangent autour de ces sujets polémiques mais aussi sur l'aspect esthétique des oeuvres, le tout sur un ton décalé, parfois provocateur.
À partir d'un référentiel d'activités, cet ouvrage propose des repères à l'acquisition de compétences pour devenir coach. Les auteurs développent les quatre dimensions indispensables pour que le coaching ne se limite pas à la maîtrise d'outils. Ce livre, programme pour apprendre l'accompagnement, propose un ensemble de repères pour agir en tant que professionnel responsable, réflexif et autonome et devenir un accompagnateur en ressources humaines qui saura développer son style personnel à partir de ces quatre dimensions :faire travailler l'accompagné sur ses enjeux,contenir le cheminement de l'accompagné,questionner pour problématiser,favoriser la construction de réponses propres à l'accompagné.Ce référentiel d'activités est issu d'analyses de pratiques en situation d'accompagnement de coaching en individuel, de coaching d'équipe, de missions de consultant et de médiateur.L'ouvrage s'adresse à ceux qui veulent intervenir dans les organisations en tant que consultants, coach, ou médiateurs. Il intéressera également tous les professionnels qui travaillent dans les ressources humaines : DRH, dirigeants, managers, cadres, chefs de projet.Les auteurs sont les permanents de E.M.A. (emaccompagnement.org) : des professionnels de l'écoute qui se réfèrent à une charte déontologique ; des formateurs diplômés de l'université, avec des options professionnelles différentes ; des accompagnateurs formés à l'évaluation dans les ressources humaines et qui utilisent un référentiel d'activités ; des intervenants professionnels en réseau, avec une culture commune.