Dans les déserts sans fin et les marécages désolés d'un lointain futur, l'ultime bataille qui décidera du sort de Viriconium a débuté.
Viriconium, la Cité pastel. Durant des millénaires elle fut le dernier refuge de la civilisation sur une Terre pillée et mise en ruine par ses propres habitants. Désormais, ses tours multicolores ont perdu de leur superbe, ébranlées par le conflit sans merci qui a opposé deux reines entrées en possession d'antiques armes ayant une fois déjà détruit le monde.
Le ténébreux tegeus-Cromis, Seigneur de l'Ordre de Methven, a quitté sa retraite, décidé à prendre fait et cause pour la Jeune Reine contre les hordes de l'ancienne. Mais il va voyager à travers les terres dévastées pour découvrir que la Guerre des deux reines n'est que le prélude d'un conflit beaucoup plus vaste et dangereux...
Premier acte du cycle de Viriconium, mythique trilogie de fantasy postapocalyptique enfin disponible dans son intégralité, La Cité pastel évoque une version sombre des Danseurs de la fin des temps de Michael Moorcock.
Dans la grande tradition des littératures de l'imaginaire, « Folio SF », laboratoire des possibles, propose des textes de science-fiction, de fantasy et de fantastique. Douglas Adams, Isaac Asimov, Serge Brussolo, Orson Scott Card, David Gemmell, Robert Heinlein, M. John Harrisson, Robert Holdstock, Lovecraft, Christopher Priest, Norman Spinrad, Bruce Sterling, Jack Vance, Stefan Wul, Roger Zelazny y sont parmi les auteurs les plus représentés. La mythique collection « Présence du futur » (600 titres depuis 1954), cèdant son fonds et laissant place en 2000 à « Folio SF », a largement contribué à la constitution de son catalogue (récemment le Guide du voyageur galactique, H2G2, de Douglas Adams) ; la collection d'inédits « Lunes d'encre », chez Denoël, également (récemment avec Michael Moorcock, par exemple, publié dans les deux collections).
Mais « Folio SF » a également publié plus de quinze inédits (Le Travail du furet de Jean-Pierre Andrevon, La Voie du sabre de Thomas Day, La Fontaine pétrifiante de Christopher Priest ; traduction inédite de Psychohistoire en péril de Donald Kingsbury, l'un des auteurs de hard science les plus ambitieux du genre ; premières traductions françaises de Franck M. Robinson, avec Le Pouvoir, ou de L'Appel de Mordant de Stephen R. Donaldson), des éditions révisées et augmentées (Jardin virtuel de Sylvie Denis.) et des textes d'éditeurs tiers, comme l'Atalante, les Editions du Bélial' (Thierry Di Rollo, Pour Anderson), Mnemos, Rivages, A.M. Metailié... A noter également, la publication d'un essai inédit sur les Transfictions, dû à Francis Berthelot : Bibliothèque de l'Entre-Mondes.
La SF dans « Folio » ? Façon d'affirmer que le « genre » n'est ni marginal ni mineur.
Dans la grande tradition des littératures de l'imaginaire, « Folio SF », laboratoire des possibles, propose des textes de science-fiction, de fantasy et de fantastique. Douglas Adams, Isaac Asimov, Serge Brussolo, Orson Scott Card, David Gemmell, Robert Heinlein, M. John Harrisson, Robert Holdstock, Lovecraft, Christopher Priest, Norman Spinrad, Bruce Sterling, Jack Vance, Stefan Wul, Roger Zelazny y sont parmi les auteurs les plus représentés. La mythique collection « Présence du futur » (600 titres depuis 1954), cèdant son fonds et laissant place en 2000 à « Folio SF », a largement contribué à la constitution de son catalogue (récemment le Guide du voyageur galactique, H2G2, de Douglas Adams) ; la collection d'inédits « Lunes d'encre », chez Denoël, également (récemment avec Michael Moorcock, par exemple, publié dans les deux collections).
Mais « Folio SF » a également publié plus de quinze inédits (Le Travail du furet de Jean-Pierre Andrevon, La Voie du sabre de Thomas Day, La Fontaine pétrifiante de Christopher Priest ; traduction inédite de Psychohistoire en péril de Donald Kingsbury, l'un des auteurs de hard science les plus ambitieux du genre ; premières traductions françaises de Franck M. Robinson, avec Le Pouvoir, ou de L'Appel de Mordant de Stephen R. Donaldson), des éditions révisées et augmentées (Jardin virtuel de Sylvie Denis.) et des textes d'éditeurs tiers, comme l'Atalante, les Editions du Bélial' (Thierry Di Rollo, Pour Anderson), Mnemos, Rivages, A.M. Metailié... A noter également, la publication d'un essai inédit sur les Transfictions, dû à Francis Berthelot : Bibliothèque de l'Entre-Mondes.
La SF dans « Folio » ? Façon d'affirmer que le « genre » n'est ni marginal ni mineur.
Dans la grande tradition des littératures de l'imaginaire, « Folio SF », laboratoire des possibles, propose des textes de science-fiction, de fantasy et de fantastique. Douglas Adams, Isaac Asimov, Serge Brussolo, Orson Scott Card, David Gemmell, Robert Heinlein, M. John Harrisson, Robert Holdstock, Lovecraft, Christopher Priest, Norman Spinrad, Bruce Sterling, Jack Vance, Stefan Wul, Roger Zelazny y sont parmi les auteurs les plus représentés. La mythique collection « Présence du futur » (600 titres depuis 1954), cèdant son fonds et laissant place en 2000 à « Folio SF », a largement contribué à la constitution de son catalogue (récemment le Guide du voyageur galactique, H2G2, de Douglas Adams) ; la collection d'inédits « Lunes d'encre », chez Denoël, également (récemment avec Michael Moorcock, par exemple, publié dans les deux collections).
Mais « Folio SF » a également publié plus de quinze inédits (Le Travail du furet de Jean-Pierre Andrevon, La Voie du sabre de Thomas Day, La Fontaine pétrifiante de Christopher Priest ; traduction inédite de Psychohistoire en péril de Donald Kingsbury, l'un des auteurs de hard science les plus ambitieux du genre ; premières traductions françaises de Franck M. Robinson, avec Le Pouvoir, ou de L'Appel de Mordant de Stephen R. Donaldson), des éditions révisées et augmentées (Jardin virtuel de Sylvie Denis.) et des textes d'éditeurs tiers, comme l'Atalante, les Editions du Bélial' (Thierry Di Rollo, Pour Anderson), Mnemos, Rivages, A.M. Metailié... A noter également, la publication d'un essai inédit sur les Transfictions, dû à Francis Berthelot : Bibliothèque de l'Entre-Mondes.
La SF dans « Folio » ? Façon d'affirmer que le « genre » n'est ni marginal ni mineur.
Star Wars Vector est un événement éditorial et narratif sans aucune commune mesure jusqu'alors. Pour la première fois, un récit s'étend sur toute la durée de la saga - depuis l'Ancienne République jusqu'à Legacy - et touche tous les héros des différentes séries.
Une terrible vision de destruction s'impose aux membres du Pacte, le groupe secret de Jedi menés par Lucien Draay, le maître renégat de Zayne Carrick. Pour tenter de contrer les effets de cette vision, le Pacte décide d'activer l'un de ces agents dormants, Celeste Morne. La jeune Jedi est alors chargée de retrouver un objet mystique aux terrifiants pouvoirs.
In Viriconium, the young men whistle to one another all night long as they go about their deadly games. If you wake suddenly, you might hear footsteps running, or an urgent sigh. After a minute or two, the whistles move away in the direction of the Tinmarket or the Margarethestrasse. The next day, some lordling is discovered in the gutter with his throat cut. Who can tell fantasy from reality, magic from illusion, hero from villain, man from monster ... in Viriconium? Published here for the first time in one volume, and in the author's preferred order, are all the Viriconium stories, originally published in four books: The Pastel City, A Storm of Wings, In Viriconium and Viriconium Nights.
On the barren surface of an asteroid, located deep in the galaxy beneath the unbearable light of the Kefahuchi Tract, lie three objects: an abandoned spacecraft, a pair of bone dice covered with strange symbols, and a human skeleton. What they are and what they mean are the mysteries explored and unwrapped in LIGHT, M. John Harrison's triumphant novel.
Shaw had a breakdown, but he's getting himself back together. He has a single room, a job on a decaying London barge, and an on-off affair with a doctor's daughter called Victoria, who claims to have seen her first corpse at age thirteen. It's not ideal, but it's a life. Or it would be if Shaw hadn't got himself involved in a conspiracy theory that, on dark nights by the river, seems less and less theoretical... Meanwhile, Victoria is up in the Midlands, renovating her dead mother's house, trying to make new friends. But what, exactly, happened to her mother? Why has the local waitress disappeared into a shallow pool in a field behind the house? And why is the town so obsessed with that old Victorian morality tale, The Water Babies? As Shaw and Victoria struggle to maintain their relationship, the sunken lands are rising up again, unnoticed in the shadows around them.
Viriconium, la Cité Pastel, dernière survivante d'une civilisation mourante, n'est plus que ruines. La guerre larvée entre le Nord et le Sud a éclaté, livrant tout au feu et au sang. Et pourtant, les pacifi ques tribus du sud sont prêtes à tout reconstruire une nouvelle fois. Mais les barbares nordiques, conduits par la Reine Noire, n'ont qu'une idée en tête : piller, tuer et détruire l'antique Cité Pastel... Pour tegeus-Cromis, à la fois savant et soldat, le combat va s'étendre bien au-delà du terrible destin qui s'abat sur sa ville. Il va devoir a ronter un ennemi plus implacable que le pire des mortels, un adversaire inhumain dont la seule existence signifi e la mort de tout espoir pour la Cité Pastel...