"Elle a lu la quatrième de couverture, a frissonné d'étonnement. Ce récit ressemblait à s'y méprendre à un épisode de son existence. Elle a déposé l'ouvrage sur le comptoir et est allée ouvrir la porte de la librairie. A neuf heures, les clients sont encore rares et, dans la lumière du matin qui glissait sur la vitre, elle a commencé à lire ce texte inattendu." Les événements de notre vie, même les plus obscurs, sont posés dans la main des anges.
Quand les hasards se rencontrent, c'est la lumière qui les rassemble. Une jolie libraire retrouve un fait marquant de son passé dans un livre qui la conduit à tisser des liens et à s'interroger sur son présent. Ce roman délicat, qui rend hommage aux libraires et qui chante l'univers des livres, est une ode à la lumière, à la tendresse et à l'amour.
« Recevoir. Me rendre capable de recevoir, prendre conscience que je suis une capacité, un espace pour l'autre. Et, pour être une capacité, cesser de vouloir me remplir. Je ne peux pas recevoir dans l'abondance, je ne peux recevoir que dans l'abandon.» Cette méditation qui se développe dans le silence et dans l'écoute nous conduit à l'essentiel : nous ne vivons pas de nos forces propres, nous avançons sur le chemin parce que nous sommes avancés. Plutôt que de croire à notre puissance, il s'agit de faire confiance à notre fragilité. C'est par elle, en elle et avec elle que nous pouvons recevoir la vie qui nous offre de marcher.
Ce livre prolonge Avec l'intime.
Vivons-nous seuls ? Sans être reliés ? Quelle est la voix de l'âme qui frémit au plus profond de chacun de nous ? Comment mieux l'entendre malgré nos certitudes, nos peurs et les multiples bruits du monde ? L'Intime nous prononce sans cesse avec amour. L'Intime nous dit un " Tu " qui nous fait exister. Etre avec lui, c'est choisir de lui répondre un " Tu " accueillant plutôt que de défendre les remparts de notre " Je " enfermé.
Port-Louis, quel temps fait-il ? C'est le printemps l-bas et il voudrait s'y rendre. Pour faire la paix avec ce fils. Pour tenter de recrer avec lui un lien malgr la prsence de Maryline et d'Antoine dans leur vie. Malgr les phrases dfinitives... Il s'est retenu de pleurer, il n'a cueilli aucun mot pour lui rtorquer... Il a cout claquer la porte et il s'est effondr. Qui est ce vieil enfant - comme le nomme tendrement sa femme - qui, enferm dans sa vie de papier, n'a pas su comprendre la dtresse de son enfant, le faisant fuir l'autre bout du monde ? Pourquoi la charmante belle-fille et le petit-fils qu'il vient de dcouvrir ont-ils t abandonns par son fils ? Quel secret se cache derrire ce geste ? Suite de Jolie libraire dans la lumire, ce nouveau roman de Frank Andriat qui chante l'criture, l'amour et l'esprance, nous offre une rflexion profonde sur la famille, la confiance et les nondits qui creusent parfois nos vies jusqu'au dsespoir,
Avec l'intime : « Vivons-nous seuls ? Sans être reliés ? Quelle est la voix de l'âme qui frémit au plus profond de chacun de nous ? Comment mieux l'entendre malgré nos certitudes, nos peurs et les multiples bruits du monde ? L'Intime nous prononce sans cesse avec amour. L'Intime nous dit un Tu qui nous fait exister. Être avec lui, c'est choisir de lui répondre un Tu accueillant plutôt que de défendre les remparts de notre Je enfermé ».
Dans ce texte fort, Frank Andriat pose la question spirituelle à l'intention d'un public très large, sans entrée confessionnelle directe. Au coeur de notre intimité, de notre intériorité, quelqu'un peut nous rejoindre.
Reçois et marche : "Recevoir. Me rendre capable de recevoir, prendre conscience que je suis une capacité, un espace pour l'autre. Et, pour être une capacité, cesser de vouloir me remplir. Je ne peux pas recevoir dans l'abondance, je ne peux recevoir que dans l'abandon ".
Cette méditation qui se développe dans le silence et dans l'écoute nous conduit à l'essentiel :
Nous ne vivons pas de nos forces propres, nous avançons sur le chemin parce que nous sommes avancés. Plutôt que de croire à notre puissance, il s'agit de faire confiance à notre fragilité. C'est par elle, en elle et avec elle que nous pouvons recevoir la vie qui nous offre de marcher.
' C'est au regard qu'on porte sur ce qui nous entoure qu'on peut se reconnaître capable d'aimer. Le vide que je voyais dans le monde n'était qu'en moi. Le jugement que je portais sur les autres aussi. ' A quarante ans, Julien ne sait plus où il en est. Proche du chaos, vide de lui-même. Désoeuvré, il va s'asseoir sur un banc du pont des Arts, en face de l'île de la Cité. Il se laisse glisser dans son absence jusqu'au moment où, soudain, il se sent rencontré. Un roman qui dit, avec une grande sobriété, que c'est souvent au plus bas de nous-mêmes que nous devenons capables de recevoir l'espoir et la lumière.