D'amour à déraison, il n'y a souvent qu'un pas, qui prend parfois des allures d'immensité. Martha a profondément aimé, mais n'a jamais vraiment soupçonné ; l'aurait-elle accepté, du reste ? ; à quel point Claire tenait à elle.
Que serait devenu le petit Maxime, si fragile, sans l'affection débordante de sa mère et de sa nourrice oe Que reste-t-il du monde à l'amant passionné lorsque l'être aimé s'en est allé ? Un vide insondable, creusé encore par les inavouables secrets qui ne manquent jamais de resurgir dans le silence...
Il est des histoires qui s'achèvent, d'autres qui ne s'écrivent pas, d'autres encore sur le point d'éclore. Telle est l'énigme du désert : tout peut surgir de cette immense vacuité, à moins qu'elle ne vous dévore de l'intérieur.
Deux ans... deux ans déjà que le tueur terrorise le nord-est des Etats-Unis. Ses victimes, sept femmes que rien ne semble rapprocher... A la tête de l'unité des sciences du comportement du FBI, James Irwin Cagney s'est résolu à faire appel à Gloria Parker-Simmons, un génie des mathématiques aux méthodes de détection paraît-il infaillibles, qui s'appuient sur des analogies mathématiques. De là à identifier un tueur en série, Cagney est sceptique... Mais l'affaire rebondit lorsqu'une jeune femme échappe au tueur.
Katherine, 24 ans et une carrure d'athlète, réussit à fournir un détail : sa description de l'homme qui l'a agressée révèle qu'il est atteint d'une pathologie assez rare...
Mais comment retrouver, dans les milliers d'hôpitaux des Etats-Unis, un serial killer dont le système endocrinien ne fonctionne plus, avant qu'il ne fasse une nouvelle victime ?
Le raisonnement mathématique de Gloria serait-il le seul à permettre de l'arrêter à temps... ?
Après La Femelle de l'espèce, Masque de l'Année 1996, un thriller qui confirme le talent exceptionnel d'Andrea H. Japp et la propulse au premier rang des reines du crime.
Toni et Sarah Magnani forment avec leur fille de 12 ans, Sophia, une famille unie et sans histoires.
Toni possède son propre garage, il est aisé sinon riche, et ils vivent dans un quartier parmi les plus calmes de Boston, car entourés d'Italiens qui ont à coeur de régler leurs problèmes sans l'aide de la police. Mais un soir Sophia ne rentre pas de l'école. L'univers des Magnani éclate. La police dit qu'il faut patienter, qu'on cherche. Sarah, elle, n'a aucune intention de patienter. On a touché à son petit : c'est elle qui va chercher.
Et elle ne doute pas qu'elle va trouver.
Le nouveau thriller d'une des plus talentueuses de nos reines du crime, découverte avec le PRIX DU ROMAN POLICIER Du FESTIVAL DE COGNAC en 1991 pour LA BOSTONIENNE.
Travailler pour le FBI peut parfois s'avérer dangereux, et la mathématicienne Gloria Parker-Simmons en a déjà fait par deux fois la triste expérience. Alors, lasse d'avoir mis en jeu sa vie et celle de sa fille, Gloria n'a eu d'autre solution que de disparaître sans retour. Du moins le croyait-elle.
Mais le voyage ne guérit pas l'âme et la fuite s'achève lorsque les souvenirs reviennent en rafales... Mrs Parker-Simmons a donc regagné San Francisco : son talent ne la préservait que peu, son génie mathématique la sauvera peut-être. Quitte à s'abrutir dans le travail, sinon dans l'alcool.
Le responsable de l'unité des sciences du comportement du FBI, James Irwin Cagney, est justement déterminé à faire appel à ses talents. Tandis qu'un tueur implacable s'acharne sur le personnel d'un laboratoire renommé, Gloria et Cagney s'unissent dans une lutte ultime pour mieux chasser leurs démons...
Après La Parabole du tueur et Le Sacrifice du papillon, Andrea H. Japp nous entraîne au coeur d'une machination impitoyable ...
Les bras proprement écartés le long du corps, comme si elle avait eu peur de souiller sa robe du soir, Patricia Barton-Smithtown repose sur son lit... et le sang dessine, le long de ses deux poignets tranchés, deux rigoles noires semblables à une élégante laque chinoise .... Un suicide ? Pourquoi pas ? Mais l'inspecteur Douglas Morrington Jr est sceptique. Personne, dans l'entourage de cette Bostonienne de la riche bourgeoisie de Beacon Hill, ne paraît la regretter, ou l'avoir particulièrement portée dans son coeur. Voilà une bonne raison de soupçonner un assassinat... mais dans cette bonne ville de Boston, où il pleut sans arrêt, et où les écureuils viennent vous rendre visite, il est parfois bien difficile de ne pas se perdre dans les méandres d'une enquête que tout le monde s'évertue à vous embrouiller à loisir...
PRIX DU ROMAN POLICIER DU FESTIVAL DE COGNAC 1991.
Ce matin-là, Ariane Saint Tolber s'est réveillée avec une certitude : elle devait se rendre au Quai des Orfèvres.
Là-bas, elle a immédiatement reconnu l'inspecteur Jacques Belfand : au milieu de toutes les auras gris terne, la sienne était bien bleue. Le malheur, c'est qu'il n'a pas eu l'air de la comprendre, bien qu'Ariane se soit montrée très claire. Elle lui a dit : "Bonjour Jacques, je vous ai reconnu, je suis voyante ; vous savez, la petite Karin, celle dont vous avez retrouvé le corps, elle n'est pas morte, il faut absolument faire quelque chose !" Le goujat s'est emporté, il l'a chassée en la traitant de charlatan ! Mais un petit coup de téléphone du ministre peut ramener Jacques à des sentiments plus sages. Il faut bien qu'il accepte l'aide d'Ariane, puisqu'elle le tient par des fils... si subtils.
Bleu ou pas, il va en voir de toutes les couleurs !
Bernie fonce au volant de sa voiture. Un gamin a découvert le corps de Serena Jensen au bord de l'étang de Saint-Basile. Non, ce n'est pas possible, pas miss Serena, n'importe qui mais pas miss Serena...
Là, au bord de l'eau, il se force à se pencher sur le corps recroquevillé, à saisir les longs cheveux blonds qui couvrent le visage... Dieu merci, pense Bernie, ce n'est pas elle ! Mais cet instant de soulagement ne dure pas, remplacé par l'épouvante à la vue de ce qui lui reste dans la main...
La victime a été scalpée, et l'horreur ne fait que commencer pour Bernie, le shérif de Jensenville, une petite ville bien tranquille des États-Unis...
" Longtemps je me suis couché de bonne heure "... " Elémentaire, mon cher Watson ! "... " Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle... " Combien de vocations d'écrivains ont suscité ces phrases ou ces vers, promesses de chefs-d'oeuvre ? C'est à partir de cette interrogation que le Centre Georges Pompidou, loin de se laisser abattre par la perte toute provisoire de ses locaux, la Bibliothèque publique d'information, Carte jeunes et les Editions du Masque se sont associés pour un concours national d'écriture. Et puisque le rafraîchissement de Beaubourg fait couler beaucoup d'encre, autant qu'elle soit noire !
En guise de prélude, quelques lignes étaient donc proposées aux candidats :
" L'homme hésita. Sur la place, la pluie qui n'avait cessé de tomber depuis le début de l'après-midi faisait briller les pavés en pente d'une lueur pâle. Les piles de matériaux entassés derrière les palissades colorées attendaient la reprise du chantier le lendemain matin. Serrant plus étroitement le col de son imperméable, il contourna le tipi dont l'enveloppe blanche se détachait faiblement sur la silhouette sombre du Centre Georges-Pompidou où seules quelques lumières floues ponctuaient l'obscurité et monta les escaliers au coin du bâtiment. Puis, d'un pas plus ferme, il se dirigea vers le sous-sol de l'ancien supermarché où nichait désormais la bibliothèque... " Des talents prometteurs (de 18 à 25 ans révolus) ont ainsi imaginé une suite à la mystérieuse promenade de l'homme en imperméable et un jury, composé de douze jeunes, d'un représentant de chacun des organisateurs, d'un auteur de littérature policière et d'un critique littéraire, a donc sélectionné les trois textes que nous vous présentons ici, sous le prestigieux parrainage de la romancière Andrea H. Japp, qui nous présente une nouvelle inédite, Le Château du rat, dans laquelle le lecteur retrouvera également les lignes proposées à l'inspiration des candidats...
Quatrième de couverture " L'homme hésita. Sur la place, la pluie qui n'avait cessé de tomber depuis le début de l'après-midi faisait briller les pavés en pente d'une lueur pâle. " Ne vous étonnez pas si trois des quatre nouvelles composant ce recueil débutent par des phrases identiques. Il ne s'agit pas d'une erreur d'impression mais d'un exercice de style proposé par le Centre Pompidou, la Bibliothèque publique d'information, la Carte Jeunes et les Editions du Masque à des auteurs en herbe, dans le cadre d'un concours national d'écriture intitulé Délires en noir.
Les trois meilleurs textes sélectionnés vous sont donc présentés ici, sous le parrainage d'Andrea H. Japp, membre du jury et auteur d'une nouvelle dans laquelle se sont également cachées les lignes livrées à l'inspiration des candidats..."
Pourquoi se donner la peine de carboniser des cadavres, quand leurs dents permettent de toute façon de les identifier ? Pourquoi de jeunes latinos immolés par le feu, à l'évidence immigrés clandestins, arborent-ils des prothèses dentaires à dix mille dollars ?
Le FBI piétine. Impossible de trouver des corrélations entre les cadavres. Impossible de déterminer l'origine des corps. Impossible enfin de découvrir l'auteur de ces meurtres étrangement semblables à des sacrifices humains.
Alors James Cagney, à contre-coeur, décide de louer les services de Gloria Parker-Simmons. Force est de reconnaître qu'avec ses formules, cette spécialiste des mathématiques dame le pion au profileur du FBI le plus chevronné.
Et même si la solution du problème est aux confins de l'horreur, nul doute qu'elle finira bien par la trouver...
Après La parabole du tueur, Andrea Japp fait définitivement entrer James Cagney et Gloria Parker-Simmons dans la légende.
Helen Baron, qui se cache depuis plusieurs années sous l'identité de Julia Holmer, vient d'échapper de peu à son mari, Cordell, un des tueurs les plus recherchés du pays.
Elle trouve refuge à Quantico, où elle est hébergée dans une des résidences du FBI. Lorsque Cordell assassine de nouveau une femme qui ressemble douloureusement à Julia, l'ombre d'une piste se dévoile aux enquêteurs: un fragment de brindille, semble-t-il, retrouvé dans les liens de la victime. Pourtant, alors que les mailles du filet paraissent se resserrer autour de Cordell, l'emprise de cet homme charmeur et létal sur Julia ne diminue pas.
Qui cherche-t-elle à éliminer : son mari, ou le souvenir des trois ans d'amour fou qui l'ont liée à lui ? Qui cherche-t-elle à détruire : le meurtrier de ses parents ou la fascination qu'il exerce toujours sur elle et qui la terrorise ? Après De l'autre, le chasseur, la deuxième aventure des agents du FBI Dougray Doyle et Esperanza Lorca, et de Julia Holmer toujours sur les traces de son mari Cordelt, le plus séduisant mais le plus redoutable des serial killer.
Elle, Sok Bopah, est devenue Isabel Kaplan, mère de famille américaine modèle.
Lui, Simon, est devenu un grand-père pétri d'indulgence pour ses petits-enfants... Qui pourrait lire dans leurs vies que cette femme a mille fois résisté à la mort dans les camps des Khmers rouges, et que lui a fui jadis les camps de concentration nazis ? Eux, les survivants, se sont unis dans le silence pour enfouir leur souffrance, éviter à leurs proches la douleur des souvenirs, offrir une façade lisse et aimante...
Peut-être est-ce pour cela que le tueur qui s'attaque à la fille d'Isabel, à la petite-fille de Simon, ne soupçonne pas que loin d'en faire des victimes, il va réveiller en eux les pires instincts de conservation. Parce qu'ils ont déjà vécu dans l'ombre de la mort, parce qu'ils ont déjà côtoyé la terreur, Isabel et Simon, maintenant également unis dans le combat, savent qu'en cherchant le coupable, ce sont leurs bourreaux qu'ils ont décidé d'anéantir...
" Déjà novembre.
Cet automne faisait suite à tant d'autres que le compte en importait peu. " Les deux victimes sont de sexe masculin, de race caucasienne, la cinquantaine : Rand Dale, le propriétaire de la maison, et Carl Ritter, son associé. Ils ont été surpris alors qu'ils buvaient un whisky, et sauvagement abattus. Puis le saccage a commencé, une véritable explosion de fureur. Tout a été retourné, lacéré. Cambriolage, règlement de comptes ? Bob Da Costa et Elizabeth-Ann Gordon, les deux flics du Boston P.D., tâtonnent encore.
Mais le problème n'est bientôt plus de leur ressort, car des bases de données du FBI surgit un fait incompréhensible : l'arme qui a tué les deux hommes, un Sig Sauer T220, a déjà servi, dix ans auparavant, à assassiner un couple de médecins, à l'autre extrémité des Etats-Unis. C'est ainsi que James Cagney, le profileur du FBI, va se trouver mêlé à cette affaire, et avec lui, Gloria Parker-Simmons, la mathématicienne.
" Car il n'y avait aucun sens à tout cela, ni logique, ni occulte, mais cela non plus n'avait pas d'importance.
" Andrea H. Japp confirme, avec ce quatrième volet des enquêtes de Gloria Parker-Simmons, le talent éclatant qui fait d'elle l'égale des grandes Américaines.
"L'homme est mort parce qu'il traversait hors des clous, parce qu'il a glissé de trouille, parce que les roues du bolide ont écrasé la fragile carcasse osseuse. Tout s'agence pour s'expliquer. Vous respirez. Je ne connais plus cette aisance : j'ai poussé l'homme, j'avais ordre de le tuer. C'est fait. C'est tout." Elle trouve, elle tue, on la paye. De quels insondables abîmes surgit Théa, la tueuse, et quelles ténèbres l'engloutissent, après ? Thomas veut savoir, tout savoir de Théa. Elle est son sujet, la promesse d'un succès littéraire.
Et si à trop fréquenter cette icône du mal, Thomas en venait à se perdre en elle ? et si Théa ne voulait bien se confier que pour mieux se confondre dans la nuit, plus tard ? Alors, peut-être, son âme souffrante verrait-elle la fin de ses crimes.
Quand L'AUTOBIOGRAPHIE D'UN TUEUR prend la forme d'une confession fantôme, le monde de l'assassin submerge même l'innocent...
Née en 1996 sous la plume d'Andrea H. Japp, la mathématicienne Gloria Parker-Simons se détache rapidement de sa créatrice pour acquérir une autonomie qui n'appartient qu'aux héroïnes d'exception.Tout au long des quatre romans qui composent ce volume, nous la voyons évoluer au rythme d'enquêtes particulièrement retorses, mais aussi et surtout au rythme de son histoire personnelle, dans laquelle le rôle du profileur du FBI James Irwin Cagney croît en importance.Lorsque Gloria réfléchit, l'écriture d'Andrea H. Japp se fait dense et précise, déchirante quand elle aime ou déteste, et la romancière parvient ainsi - talent ou magie
Elle l'a aimé, il a tué ses parents.
Il l'a choisie, repoussant toujours au lendemain un crime trop sûrement sauvage. Puis il a disparu, la laissant échouée là, vivante. Ou plutôt en sursis. Une proie. Épouser un tueur en série, qui aurait pu penser ça de la jolie Helen Baron, héritière d'une des plus anciennes familles de Boston ? Méconnaissable, désormais sous l'identité de Julia Holmer, la jeune femme se terre, attendant sans y croire de retrouver son mari, et de l'éliminer, enfin.
Mais les êtres sont-ils si simples ? Cet homme qu'elle a passionnément désiré, adoré, ce monstre, veut-elle réellement s'en défaire ? Alors qu'il recommence à tuer après un silence de trois ans, que l'équipe de Dougray Doyle entame une traque sans relâche de celui que la presse surnomme " Charly ", Julia affronte sa mémoire afin de les aider à l'arrêter. Afin de les aider à la sauver...
Sommaire La virgule... Marthe fut une femme solaire, extravagante et aimante. Elle laisse un ancien amant notaire , un fils très sérieux qu'elle a peu connu, Simon, et une petite fille sourde et muette, venue sur le tard, Venise. Les deux hommes vont se battre pour la garde de l'enfant...
Journal intime des rêves... Savannah aime Mason follement depuis l'enfance. Mason n'y a jamais prêté attention, trop occupé par sa propre vie. Pour lui, elle fera tout, jusqu'à épouser William, l'ancien professeur de Mason. Mais un jour, enfin, Mason ouvre les yeux sur cet amour...
La leçon du rat... Suzanne habite depuis trente ans un immeuble dans lequel elle règne. Arrive Olivia, une jeune femme avec son petit chien. Suzanne la prend immédiatement en grippe parce qu'elle "n'obéit pas". Tous les moyens sont alors bons pour museler la nouvelle venue...
Et bien d'autres encore...